Le 30 octobre « Les sénateurs ont adopté à 221 voix contre 82 une proposition de loi de la droite visant à “protéger” le français “des dérives de l’écriture dite inclusive”. Elle prévoit de bannir cette pratique “dans tous les cas où le législateur (et éventuellement le pouvoir réglementaire) exige un document en français”, comme les modes d’emploi, les contrats de travail, les règlements intérieurs d’entreprise.