Le 28 mars marque la fin du délais pendant lequel le procureur pouvait se pourvoir en cassation et ainsi contester le verdict de la Cour d’appel de Lyon. Il n’en est rien, ce qui confirme que Vincenzo ne sera pas extradé vers l’Italie pour y purger une peine injuste et inacceptable. C’est une grande victoire ! Vincenzo est donc libre, du moins en France...