Nous avons appris la disparition de Bilal,
Il était passé par Marseille et y a laissé des traces au Cours Julien et rue Camille Pelletan.
Il utilisait un langage poético-politique dans lequel on se reconnaît. Il portait notre rage, nos interrogations, nos désirs d’habiter.
Pour le suivre au fil de ses passages par la Tunisie, la Lybie, Odessa, les Cévennes... :
http://quadruppani.blogspot.fr/2014/03/bilal-mort-dun-combattant-7.html
http://www.article11.info/?Tunis-les-fantomes-de-la-Kasbah#a_titre
http://www.formes-vives.org/documents/divers/Zoo-Project_Et-Soudain_Odessa.pdf
http://antoine-page.com/